I have to forget you, cold chicken (part 2)

27 mai 2008

Sometimes you love me
Sometimes you don’t
Sometimes I love you
Sometimes no
Sometimes I don’t know

Ça recommence. Après 8 mois, j’l’ai revu. On a marché longtemps, trop longtemps peut être. Et bavardé suffisamment. Beaucoup. Pour finalement monter au millième étage de son appart. On s’est assis sur le balcon. Et on a regardé les étoiles. La pollution. Le fleuve. La lune orangée. Et on a encore parlé. De n’importe quoi. Enchaînant les clopes et les silences. Vincent et Mia l’on vécu. J’ignore pourquoi tu dis ça. À boire. Musique. Puis à un moment, on est rentré un peu. Et on bavardait toujours, au dessus de tout, de toute la vie nocturne qui s’agitait. J’l’ai regardé. Et j’ai constaté qu’il était vraiment beau. Trop beau peut être. Et ça m’a fait peur. Et s’est rassis devant la baie vitrée. Et il m’a posé cette foutue question stupide : tu crois pas que c’est mal passer la nuit avec moi pendant qu’il y a l’autre? Bah oui, il y a L’autre, je consens. Mais du coup, oui c’est intense, oui on a des projets. Mais pratiquement, on peut pas vraiment dire qu’Il est là. Et que je suis là. Donc en ce moment, c’est pas mal. Toujours pour tout détourner. Toujours pour tout brouiller. Parce que je sais parfaitement qu’Il a beaucoup plus de chance que L’autre. Parce que c’est plus facile et que j’ai une maligne tendance à être attirée par la simplicité. Et puis j’arriverai jamais cette fois-ci à parler de Lui à L’autre… Parce que je lui ai dis que c’était terminé tout ça et qu’Il devait pas s’inquiéter pour ce genre de truc là… parce que c’est lui (bah L’autre) que je veux. Bravo. Grosse conne. J’ai jamais su ce que je voulais. La série ou celui qui explique l’histoire?... La série. La série, c’est bien plus long. J’ai l’impression qu’au bout de 2 mois, ça va terminer comme la dernière fois mais qu’en boni, je vais perdre l’autre. Vie de pute. T’étais une merde seulement parce que je savais très bien que t’avais l’avantage et que je voulais pas me l’avouer. Je te détestais d’être près. Je me détestais aussi pour ça, et ce moment, je me déteste davantage. C’est pas toi, au fond… C’est moi.

And I have to forget you.

Nirvana